vendredi, avril 22

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De la tristesse dans son regard

Les écrans ne montrent pas, ne disent pas, les mots qu’on trace sont pure courtoisie.


Je sais quand je fais mal, c’est rare, et quand c’est arrivé je l’ai senti.


L’amitié dans mon monde est précieuse, j’ai peur d’avoir cru un peu trop, d’avoir nié l’évident, d’avoir dit oui, puis d’avoir dit non.


Il y a de ces glaces qui se brisent en mille morceaux..

Et je perds un vrai reflet, parce que le miroir était vrai, et que le miroir était beau.


J’avais pour lui mille égards, j’avais pour lui une émotion, une inquiétude de mère enfant, j’avais pour lui un océan, jusqu’à ce que se casse le mythe.

On ne récupère pas l’irrécupérable, on ne change, rechange pas mille fois le statut.


Les mots les plus courts sont les mots les plus assassins : non oui, si ?


J’ai dû parler de tout et rien, j’ai dû jouer la comédie, j’ai du faire comme si je ne devinais pas sa tristesse, comme si je ne ressentais pas le regret.


J’ai porté mon masque et il a porté son secret.